[Equipe de France Masculine 2024] Jeux Olympiques Paris 2024

Vu sur le site l'équipe avec un focus sur Ngapeth.
106kg pour 1.94 m? Il y a une erreur?
Ca me parait beaucoup...

Perso, ce que je trouve remarquable sur cette fiche, c'est que le joueur a un poids de 1.94 m et une taille de 106 Kg.
Même le sergent Garcia et Bernardo sont dubitatifs sur l'aspect physique que cela doit représenter sur le bonhomme, alors qu'un certain Zorro n'a pas percuté , alors qu'il a déjà signé de son "Z". 

Excellent Cherrysalsa!

L’entraînement ouvert au public nazairien cet am sera en réalité un match entre les 14 joueurs
Excellente nouvelle pour les qq mille personnes qui ont eu la chance d’avoir une place … apparemment des centaines de déçus

spectateur a écrit:

L’entraînement ouvert au public nazairien cet am sera en réalité un match entre les 14 joueurs
Excellente nouvelle pour les qq mille personnes qui ont eu la chance d’avoir une place … apparemment des centaines de déçus

Je confirme, c'était sympa!
Un ptit échauffement suivi d'un match remporté 3/1 par la France rouge aux dépens de la France blanche (aucun rapport avec l'actualité politique).
Certains joueurs ont changé de camp entre les sets(aucun rapport avec l'actualité politique bis..)
Belle ovation du public partagée avec les joueurs
Petite séance de dédicaces à laquelle quasi tous les joueurs ont participé.
Bref top.

Ngapeth ne sera pas porte drapeau vu que c'est Florent Manaudou qui a été choisi pour l'ensemble des athlètes Français présents aux JO.

ELRORO a écrit:

spectateur a écrit:

L’entraînement ouvert au public nazairien cet am sera en réalité un match entre les 14 joueurs
Excellente nouvelle pour les qq mille personnes qui ont eu la chance d’avoir une place … apparemment des centaines de déçus

Je confirme, c'était sympa!
Un ptit échauffement suivi d'un match remporté 3/1 par la France rouge aux dépens de la France blanche (aucun rapport avec l'actualité politique).
Certains joueurs ont changé de camp entre les sets(aucun rapport avec l'actualité politique bis..)
Belle ovation du public partagée avec les joueurs
Petite séance de dédicaces à laquelle quasi tous les joueurs ont participé.
Bref top.

N'Gapeth a joué tout le match ? Etait-il performant et en forme, vu qu'il n'a fait que quelques apparitions au service pendant la VNL ?

Sinjin-GCC a écrit:

ELRORO a écrit:

spectateur a écrit:

L’entraînement ouvert au public nazairien cet am sera en réalité un match entre les 14 joueurs
Excellente nouvelle pour les qq mille personnes qui ont eu la chance d’avoir une place … apparemment des centaines de déçus

Je confirme, c'était sympa!
Un ptit échauffement suivi d'un match remporté 3/1 par la France rouge aux dépens de la France blanche (aucun rapport avec l'actualité politique).
Certains joueurs ont changé de camp entre les sets(aucun rapport avec l'actualité politique bis..)
Belle ovation du public partagée avec les joueurs
Petite séance de dédicaces à laquelle quasi tous les joueurs ont participé.
Bref top.

N'Gapeth a joué tout le match ? Etait-il performant et en forme, vu qu'il n'a fait que quelques apparitions au service pendant la VNL ?

Oui il a joué tout le match il était plus affuté physiquement que lors de la vnl et a réussi quelques beaux points dont il a le secret...

Merci du retour Elroro !
Oui le gars semble se préparer de manière très professionnelle pour une éventualité unique: être la première nation à conserver son titre olympique en jouant à la maison.
Seuls l'Union Soviétique (sur les 2 premières éditions) et les USA (1984 -1988) ont réussi le doublé.
Le grand Brésil ne l'a pas fait, encore moins la Pologne et l'Italie toujours malheureux aux JO.

Chinenyeze est assis et ne jouera pas après un début d’échauffement sommaire

Kevin Tillie avec un maillot de libero

gaillard53 a écrit:

Kevin Tillie avec un maillot de libero

Et il joue

France 5 Canada 0.
Match à rallonge

Ce qui est plus inquiétant, c’est Chinenyeze et on a vu Diez dans le groupe et même jouer quand Tillie est redevenu attaquant et plutôt percutant (son bras a été très rapide contrairement à ce que j’ai lu récemment)
Est-ce à dire que Grebennikov a un problème ou alors Giani brouille les cartes ?
Patry, Faure ont été très bons, très, les deux AR Clévenot, Louati également, Le Goff impérial au contre , Jouffroy a fait deux sets sans que l’on voit une différence de niveau entre lui et les autres
Le petit bémol, c’est Brizard qui n’est pas toujours bien propre dans ses passes, il me paraît un peu en dedans , Toniutti quand il est rentré a semblé mieux trouver ses attaquants et donner plus de rythme.
Ngapeth n’a plus que 10 jours pour retrouver du jump, le bras il l’a sans problème 
Je ne ressors pas hyper rassuré malgré la victoire car en face c’est quand même plus faible, nettement ce soir
Pas rassuré si on a qq bobos voire plus que des bobos , le banc n’est pas hyper long sur le poste de central et notre libero est important voire irremplaçable 
Mais lorsqu’il faut serrer le jeu, les français retrouvent leur très bon niveau comme en VnL..est-ce que ça suffira contre des très gros ? 
Ambiance énorme en Vendée dans une salle splendide (mieux qu’à la Trocardiere , le public est plus proche du terrain) par contre toujours un speaker qui m’a semblé être le point central de la soirée pour la télé (est-ce que ça a donné la même impression devant son écran ?) : c’est pénible d’être sollicité constamment pour se lever, applaudir, allumer son portable et …etc… ça c’est une dérive extrêmement désagréable pour celui qui vient voir du jeu…

Est-ce que quelqu'un a le planning ou le tableau de toutes les rencontre avec le n° des rencontres, surtout pour les 1/4, 1/2 et suite.
Je voudrait acheter des places et voir les équipes probables pour ces rencontres

Merci beaucoup spectateur.
Par contre pas encore d'info concernant les horaires des matchs des 1/4.
A savoir si la France jouera à 17h ou 21h ou plus tôt...

Ça, c’est secret pour l’instant..
Ceux qui ont des billets et qui vont se taper Le Vatican contre Andorre alors que le match suivant sera France Brésil…ils vont l’avoir mauvaise

Donc je n’en sais  pas plus sur le  match vv046

Si Andore et le Vatican sortent des poules c'est l'énorme côte!

Friponneau a écrit:

Est-ce que quelqu'un a le planning ou le tableau de toutes les rencontre avec le n° des rencontres, surtout pour les 1/4, 1/2 et suite.
Je voudrait acheter des places et voir les équipes probables pour ces rencontres

Peut être que ceci peut d'aider :

Premier tour : https://en.volleyballworld.com/volleyball/competitions/volleyball-olympic-games-paris-2024/schedule/#fromDate=2024-07-27&round=preliminary-phase

Fin du premier tour : https://en.volleyballworld.com/volleyball/competitions/volleyball-olympic-games-paris-2024/schedule/#fromDate=2024-08-03&round=preliminary-phase

Phase finale : https://en.volleyballworld.com/volleyball/competitions/volleyball-olympic-games-paris-2024/schedule/#fromDate=2024-08-05&round=final-round

Pour savoir qui jouera son quart de finale à 9h du matin on l'apprendra au dernier moment puisque c'est les diffuseurs qui font la loi.

C pas très facile à avoir une vision sur ce que pourrait être un billet demi-finale masculin marqué VV045????
Ou 1 quart de finale marqué.
Tous les match sont numéroté

quelqu'un aurait une idée si ce sera diffusé ailleurs qu'à la TV ?
sur VBTV apparemment rien

[size=42][size=39]Du berceau au firmament, Ngapeth par ses pairs[/size]
[size=31]JO 2024. Earvin Ngapeth, un cas unique (1/3).Talentueux et fantasque, « Pepeth » a roulé sa bosse jusqu’à devenir un leader charismatique, en club comme en sélection. Récit de son évolution.[/size][/size]
[size=38]TALENTUEUX ET FANTASQUE, « PEPETH » A ROULÉ SA BOSSE JUSQU’À DEVENIR UN LEADER CHARISMATIQUE, EN CLUB COMME EN SÉLECTION. RÉCIT DE SON ÉVOLUTION.[/size]
[size=29]« À l’époque, il jouait passeur. Il était vraiment plus petit que tout le monde, plus enveloppé aussi. » Dit comme ça, il faudrait le deviner. Le ton n’est pas spécialement moqueur, un brin chambreur peut-être, mais Kévin Le Roux parle bien d’Earvin Ngapeth. Du souvenir qu’il a gardé de sa première rencontre avec l’adolescent qui deviendra, plus tard, une légende du volley français. « J’avais 15 ans et lui en avait 13, c’était au Creps de Toulouse lors d’un stage national, recontextualise le central de 2,09 m, qui a partagé un sacré bout de chemin avec « Pepeth », de son surnom. À force, on avait juste besoin de se regarder pour savoir ce que l’autre pensait. »
Les premières années d’Earvin Ngapeth racontent l’histoire d’un jeune volleyeur qui peine à se situer sur le terrain. Passeur d’abord, pointu ensuite chez les cadets avant de s’imposer au poste de réceptionneur-attaquant. « Il avait eu une poussée de croissance autour de ses quinze ou seize ans, retrace encore Kévin Le Roux. On voyait qu’il avait énormément de talent. Ce n’était pas le plus grand mais c’était de loin le plus rapide, le plus technique et le plus créatif. Il faisait des choses que personne n’avait fait dans le volley. »
[size=31]« On avait osé lui faire passer un stage de détection »[/size]
Très vite s’impose le constat suivant. Le natif de Saint-Raphaël a de l’or dans les mains et n’est pas un volleyeur comme les autres. « Quand on invente des gestes, c’est qu’on a quelque chose de plus que les autres », résume Pascal Foussard. L’emblématique dirigeant du Tours VB sait de quoi il parle. Il était là lorsque le joyau a signé son premier contrat professionnel en 2008. « C’était un peu le fruit du hasard parce que son père (Éric, ex-international camerounais et français dans les années 80-90) venait entraîner à Tours », recontextualise-t-il.
À ce moment-là, recruter le jeune Ngapeth, formé au CEP Poitiers, relève davantage du pari que de l’assurance tous risques puisqu’il vient d’être remercié par le Centre national de volley-ball (CNVB). « Son père m’avait demandé si on pouvait le prendre. Je le connaissais à peine. Ce n’est pas moi qui l’ai recruté, je n’ai fait qu’accepter sa proposition », glisse humblement Pascal Foussard. En Touraine, le deal ne tarde pas à se conclure.
Loin de se douter qu’il enrôle l’un des futurs meilleurs joueurs du monde, le TVB met les formes. Seize années ont passé depuis mais Jacques Bouhier en rigole toujours autant. « On avait osé lui faire passer un stage de détection. Il était venu comme les autres un mercredi après-midi pour faire un essai », se marre l’ancien président.
À peine pistonné, Earvin Ngapeth ne jouit d’aucun passe-droit au sein de l’effectif. Dans l’esprit de son paternel, son tour viendra. « Au début, il hésitait à en faire un titulaire. C’est moi qui lui ai demandé de le mettre. Earvin était programmé pour réussir », raconte encore Pascal Foussard. Cela n’a pas manqué.
Les premiers souvenirs d’une masterclass renvoient au 13 mars 2009 lors d’une demi-finale de Coupe de France face à Toulouse. « On était mal embarqués, rembobine Jacques Bouhier. Il rentre et il nous sauve le match. Ce jour-là, c’est lui qui fait gagner l’équipe. » Une qualification en guise de bande-annonce. « Il avait déjà ce côté insouciant, à y aller sans pression et sans se poser de questions. »
À Cunéo, dans le Piémont italien, il ne tergiverse pas. L’environnement changeant n’a que très peu de prises sur lui. Kévin Le Roux, encore subjugué : « Là-bas, il a à peine plus de vingt ans et il est titulaire en finale de Ligue des champions, c’est juste fou ! » Une compétition qu’il n’a d’ailleurs encore jamais remportée, malgré ses très nombreux titres (25 !).
Earvin Ngapeth est donc de ceux que l’on apprécie avoir avec soi. Le genre de joueur craint lorsqu’il se présente de l’autre côté du filet. Ils sont rares à en garder de bons souvenirs. Jenia Grebennikov, par exemple, son libero en équipe de France. « Quand il était à Tours, il avait une meilleure équipe que moi, donc il gagnait souvent, plaisante son coéquipier en Bleu, formé au Rennes Volley. J’avais beau le connaître à force de m’entraîner avec lui, ça a toujours été difficile. »
Les années faisant, l’affaire n’est pas allée en s’arrangeant. Kévin Le Roux, à son tour. « La première chose que j’avais dite à mes coéquipiers, c’est que l’homme à abattre, c’était lui, sourit l’ancien central. Si tu ne le fais pas sauter mentalement, tu sais que le match va être dur. »
[size=31]« C’est le cœur de l’équipe »[/size]
Sous le maillot bleu, l’autoroute qu’il a emprunté n’a pas été sans péage. « Il a toujours été surclassé », observe Benjamin Toniutti. « Un été, il a dû choisir entre faire le Mondial avec les A ou avec les gars de sa catégorie », se marre Kévin Le Roux. Ses premières interrogations n’étaient rien à côté de ce qui a suivi.
Son tempérament impétueux lui a joué quelques mauvais tours. Sa première convocation chez les A tourne au vinaigre. Il insulte le sélectionneur Philippe Blain et se voit intimer l’ordre de faire ses valises en plein Mondial. À 19 ans, la mise à l’écart laisse des traces. « Je suis arrivé en bulldozer, avec mon caractère et ma connerie », admet-il aujourd’hui.
Ce caractère, Jacques Bouhier s’en souvient. Et le décrit à travers une image. « Quand il est exclu de l’équipe de France, il arrive tout seul à l’aéroport. Il avait été laissé comme une vieille chaussette », estime-t-il, quatorze ans plus tard. L’ancien président de Tours VB tente de remettre l’église au milieu du village. « Il a traîné une réputation à l’extérieur. Nous, on n’a jamais eu à se plaindre de son état d’esprit. » Certains le décrivent impétueux, Earvin Ngapeth se dessine surtout impatient. Mais le talent n’attend pas. Et l’histoire lui donne raison, tant il a gagné.
Deux Ligue mondiale, deux Ligue des nations, un Euro, l’or olympique à Tokyo… « Il a été décisif dans tous les titres de l’équipe de France, salue Benjamin Toniutti. Plus jeune, tu sentais déjà qu’il avait quelque chose en plus. C’était un joueur décisif. Aujourd’hui, il est le cœur de l’équipe. » Kévin Le Roux abonde : « Dans une équipe, quand tu enlèves un joueur sur les six, ça peut ne pas avoir d’incidence mais si tu l’enlèves lui, ce n’est plus la même chose. »
Et puisque la vérité du terrain est aussi celle de la vie de groupe, Earvin Ngapeth est un incontournable. « L’ambianceur numéro un » selon Stephen Boyer, celui qui va « créer des liens dans l’équipe » salue Benjamin Toniutti, « le gars qui a toujours le sourire, prêt à aider et à soutenir » pour Jenia Grebennikov. Le mot de la fin va à Pascal Foussard. « On a croisé pas mal de choses ensemble, ça laisse des traces, décrit-il. On a envie de partir à la guerre. Il a la farouche volonté d’emmener tout le monde derrière lui. »
Kévin GUISNEL[/size]