[Equipe de France Masculine 2024] Jeux Olympiques Paris 2024

Phase finale extraordinaire de nos bleus, j'avais qq doutes sur les possibilités d'aller au mais, pour me fairementir une fois de plus, ils se sont transcendés .
Je vote aussi pour Clevenot, le discret, en tant qu'MVP.

Au final, pas sûr que les JO désignent un MVP et un six majeur...

blackleroc a écrit:

Au Plessis, il avait marqué 14 pts en claquant 9 aces contre Narbonne. Paradoxalement, il avait été classé parmi les "vendangeurs" dans les stats.
Comme quoi...

T'oublies de dire que je l'avais classé 1er à la fin de la saison devant Miyaura, Chizoba, Ewert et Mendes Spencer
Mais encore une fois, les stats qu'on fait ne reflètent que les chiffres globaux de la saison 

En fait si et j'avais bon à 100%!
Que des Français sauf au centre avec Averill et Kochanowski.
Et MVP...Ngapeth!

Oups dans mon résumé, j’ai oublié et c’est impardonnable, la perf énorme de Jouffroy

Je suis vraiment nul en informatique et en manip avec un telephone, mais j ai l equipe tout les jours...
Je peux vous la faire passer via whatsapp..
Vous m envoyez votre numero par mp

Si tu es doue jojo, je t envoie ca demain, avec celui de dimanche et tu pourras publier les articles pour tous

Ils sont en une de l'équipe, et pas à moitié cette fois malgré (et tant mieux!) un nombre important de médaille lors de ce 10-08-24! 

Bon, on est bien d'accord, il n'y a pas de mot pour qualifier cet exploit. C'est tellement sidérant !

https://rmcsport.bfmtv.com/jeux-olympiques/jo-2024-volley-on-voyait-les-volleyeurs-italiens-au-basket-ou-a-la-natation-les-bleus-racontent-leur-choix-gagnant-de-reste-cloitres-au-village-olympique_AV-202408100310.html

Le show énorme de cette splendide équipe au club France (vu ce matin sur l’équipe tv certainement dispo aisément en replay) 

Comme c’était dit sur le plateau : comment ne pas aimer cette équipe, ces joueurs ?

 Qu’ils restent abordables comme ils l’ont toujours été et ne deviennent pas d’horribles stars comme dans d’autres sports bien trop médiatisés 
Que le soufflet ne retombe pas de suite comme après les championnats du monde 86 en France où rien n’avait été prévu si j’ai bonne mémoire…

En attendant, que cette équipe, que ce sport apportent comme émotion et beauté..et encore une fois comme plaisir.

Awards

The awards were announced on 10 August 2024.^[12][14]

[th]Position [/th][th]Player [/th]

Most valuable player	Earvin N'Gapeth
Setter	Antoine Brizard
Outside hitters	Earvin N'Gapeth
	Trévor Clévenot
Middle blockers	Jakub Kochanowski
	Taylor Averill
Opposite spiker	Jean Patry
Libero	Jenia Grebennikov

les chiffres de la finale.... comment dire ? y'a pas photo comme contre l'Italie
je disais : éparpillés façon puzzle
les chiffres montrent que les polonais ont été "légèrement" dominés, très légèrement
le pourcentage d'apport est parlant, l'efficacité à l'attaque pas moins et le premier set a été phénoménal à l'attaque (dernier tableau)

JoJo52 a écrit:

Taper l'Italie en 1/2 finale puis la finale contre la Pologne, en JO, qui plus est à Paris....

Ce n'était juste que les champions du monde en demi et les vices champions du monde en finale. 

Narbounes a écrit:

JoJo52 a écrit:

Taper l'Italie en 1/2 finale puis la finale contre la Pologne, en JO, qui plus est à Paris....

Ce n'était juste que les champions du monde en demi et les vices champions du monde en finale. 

En gagnant 6 sets sans en prendre un seul en retour. Il me semble que c'était ça le plus étonnant.
Quelqu'un aurait parié sur deux 3/0 ? L'équipe de France a gagné les 9 derniers sets joués.
J'ai revu les deux derniers matchs, la 2eme fois en changeant de Laurent aux commentaires. Je vous le recommande, c'est aussi jouissif que la 1ère fois !

Exceptionnelle victoire olympique !!! Quel pied hier après-midi !!!
J'ai trouvé la fin du match bien plus émouvante (et la fin de la demi-finale contre l'Italie peut être encore plus) que le podium olympique, mais cela restait bien sûr un énorme moment pour notre sport !

Concernant le palmarès individuel, j'aurai peut être mis Trevor en MVP mais Earvin bénéficie de son aura planétaire...
Rien à dire sur le reste, les 2 centraux polonais et américains qui prennent les places ont délivré des performances très solides !!!

Décu par contre que N'Gapeth ne soit pas porte drapeau pour la cérémonie de clôture. Il était candidat pour la cérémonie d'ouverture, termine MVP avec médaille d'or mais le choix se fait plutôt sur Dupont, certes génie du rugby mais déjà tellement connu et dont le sport n'a pas besoin de promotion supplémentaire. Pauline Ferrand-Prévôt, rien à dire c'est mérité mais j'aurais tellement aimé que N'Gapeth soit le second car il est à l'instar de Dupont aussi un génie de son sport !!!

Démonstration malheureuse que notre sport restera traité en seconde zone par nos médias et nos élites.

L'article d'hier avant la finale:


Opposée à la Pologne ce samedi midi à Paris (13 heures), l'équipe de France vise un deuxième sacre olympique de rang. Portée par un public enamouré, la génération Ngapeth se trouve à portée de main d'un doublé historique, qu'elle a bâti en partant du néant, il y a dix ans, sur la foi collective. 


Ils s'appelaient Didier, Pierre, Yves et Xavier. Anciens formateurs, dirigeants, entraîneurs ou joueurs, ils ont œuvré toute leur vie pour sortir le volley français de l'ombre dans lequel il se morfondait. Partis bien trop tôt ces derniers mois, ils ne verront pas l'équipe de France disputer une deuxième finale olympique de rang, ce samedi midi face à la grande Pologne, trois ans après l'enivrante déflagration de Tokyo. C'était leur rêve. Ils s'appellent Camille, Charlie, Denoal et Robin. Jeunes espoirs de 11 ou 12 ans de la région parisienne, ils seront devant leur télé ou dans l'incandescente Arena de Paris-Sud à l'heure du déjeuner, pour supporter ces Bleus qu'ils ambitionnent un jour d'imiter.

Tout à l'heure, au moment d'entrer sur le parquet et de retrouver la folle ambiance qu'ils n'avaient pas envie de quitter mercredi soir après avoir torpillé l'Italie championne du monde en demi-finales (3-0).
Antoine Brizard, Jean Patry, Barthélémy Chinenyeze et leurs coéquipiers n'auront pas forcément une pensée pour tous ceux, de près ou de très loin, qui les ont accompagnés jusque-là. Ils seront dans leur bulle, concentration et stabilité émotionnelle obligent. L'heure des émotions, comme celle qui a foudroyé Earvin Ngapeth (33 ans) après la balle de match contre la Nazionale, viendra après.

Une identité promue par l'ex-sélectionneur Laurent Tillie

Ils ne songeront pas, non plus, au poids historique que représenterait un doublé : direction le panthéon du sport co français à côté des Experts handballeurs (2008, 2012) et le « Hall of Fame » de la Fédération internationale où seules la défunte Union soviétique (1964, 1968) et les États-Unis de la légende Karch Kiraly (1984, 1988) ont réalisé cet exploit. « Un truc de journalistes, ça, glisse le capitaine Benjamin Toniutti, qui flirte désormais avec les 400 sélections. On ne joue pas pour les chiffres ou les records. On s'en fout. Ce qui nous pousse, c'est ce bonheur qu'on ressent à chaque fois qu'on joue ensemble. »
Cette joie n'est pas feinte. Elle est au coeur même de l'identité promue par l'ex-sélectionneur Laurent Tillie dès sa prise de fonction en 2012 et repolie par Andrea Giani depuis son arrivée sur le banc, après la démission surprise de l'emblématique brésilien Bernardo Rezende en 2022, huit petits mois après sa nomination. Deux entraîneurs en trois ans, des grincements puis des changements dans le staff, des blessures et quelques contre-performances, au Mondial 2022 (5es) puis à l'Euro 2023 (4es) : la vie des Bleus ne ressemble pas exactement à un long fleuve tranquille.


« On se nourrit de nos différences et on les accepte, c'est cela qui fait notre force au-delà de la qualité des joueurs »
Earvin Ngapeth
Ce groupe bouillonne, chante et rappe aussi ; il incarne une certaine idée de la vie française et ne trouve son équilibre que dans le déséquilibre. « On se nourrit de nos différences et on les accepte, c'est cela qui fait notre force au-delà de la qualité des joueurs », assure Ngapeth, qui ambiancera encore le vestiaire avant ce duel XXL et le bras de fer annoncé avec l'extraterrestre Wilfredo Leon. La star polonaise sera la cible numéro un des Bleus, celle qu'il faudra fatiguer et qui portera sur ses épaules tout le poids d'un pays, en quête de l'or olympique depuis les Jeux de Montréal (1976), et cette victoire presque politique face à l'URSS (3-2).
« À chaque match, ce maillot pèse lourd, avoue le réceptionneur-attaquant Tomasz Fornal, coéquipier à Jastrzebski et ami de Toniutti, avec lequel il enchaîne les titres depuis trois ans. On a gagné deux fois le Mondial (2014, 2018) et l'Euro (2023) mais tout le monde nous parle surtout des Jeux, de la référence à ce match symbolique de 1976. Oui, cela représente une forme de pression. » Qui serait susceptible de contaminer le camp français, si l'affaire venait à mal tourner ? Portée par une vague d'amour public qu'elle a longtemps espéré générer, lucide sur ses qualités et ses défauts, et boostée par l'explosion de Trévor Clévenot, l'équipe de France semble vivre en apesanteur.


« Si c'est un rêve, ne nous réveillez pas », dit joliment Yacine Louati, arrivé sur le tard dans le groupe. Dans son histoire moderne, la France n'a raté qu'une seule finale, celle de la Ligue des nations en 2018, dans le grand stade de Villeneuve-d'Ascq face à la Russie (0-3). Les six autres se sont transformées en or. Ces alchimistes 3.0, qui viennent déjà de rafler la Ligue des nations fin juin en tombant au passage la Pologne dans une demie de folie (18-16 au tie-break), gardent aussi en mémoire le quart de finale des Jeux de Tokyo. Un jour béni pour cette bande d'illuminés, capables de survivre à cinq sets de folie du duo d'artificiers polonais Wilfredo Leon et Bartosz Kurek, 55 points marqués à 66 % de réussite. 
Cela n'existe même pas en rêve ? Si, c'est l'équipe de France de volley.

les pointus

Erreur sur les fautes de services bientôt rectifiée

J'ai repris les stats officielles des meilleurs joueurs ici

J'ai ajouté l'efficacité là où il n'y a que les classements par set ...

Voici le secteur offensif : attaque, bloc et service

puis le défensif : défense, passe et réception

Je réveille mon clavier quelques temps après la finale.
J'avais des doutes sur la capacité à reprendre ce niveau de concentration, j'avais tort.

MAIS QUEL PIED !!!

Désolé mais ca fait du bien.
Rein à ajouter, la simple émotion de L Tillie aux commentaires en fin de match, les larmes de Giani et leur accolade  résument tout.

C’est moi ou c’est vraiment très chiant cette cérémonie de clôture ? Les schtroumpfs blancs c’est longuet

Pas un ballon de volley ni de beach volley, une honte!