[Equipe de France Masculine] Qui pour succéder à Bernardinho ?

ITW Bernardinho:

https://rmcsport.bfmtv.com/volley/volley-bernardinho-revient-sur-la-raison-de-sa-demission-et-le-silence-de-ngapeth_AV-202204050262.html

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 Que veut dire : Ngapeth est le seul auquel je n’ai pas parlé ?

Il a peut être parlé à tous les autres pour dire au revoir?

spectateur a écrit:

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 Que veut dire : Ngapeth est le seul auquel je n’ai pas parlé ?

Que Ngapeth lui en veut et qu'il ne lui a pas répondu!?

JoJo52 a écrit:

spectateur a écrit:

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 Que veut dire : Ngapeth est le seul auquel je n’ai pas parlé ?

Que Ngapeth lui en veut et qu'il ne lui a pas répondu!?

oui, c'est ce qui est sous-entendu.

Geiler, celui de Fréjus, est entraîneur adjoint !

spectateur a écrit:

Geiler, celui de Fréjus, est entraîneur adjoint !

Il n'a pas suivi Enard sur la Croatie ??

coach20/20 a écrit:

spectateur a écrit:

Geiler, celui de Fréjus, est entraîneur adjoint !

Il n'a pas suivi Enard sur la Croatie ??

ITW de Giani pour L'équipe:
https://www.lequipe.fr/Volley-ball/Article/Andrea-giani-nouveau-selectionneur-des-bleus-forger-une-identite-commune/1327274

pas lu, réservé aux abonnés, mais on en retrouve une partie ici:

https://www.sport365.fr/volley-bleus-giani-veut-de-continuite-resultats-10320450.html

(avec un petit tacle vers les centraux)

et l'info sur Loïc Geiler ici:
https://www.leparisien.fr/sports/une-equipe-incroyable-le-nouveau-selectionneur-des-bleus-du-volley-andrea-giani-est-deja-sous-le-charme-12-04-2022-OOFKYFGKPFF3NOV65CQ4TKD3TA.php

Et il embarque son statisticien de Modène, Bob Ciamarra (plutôt que de conserver Perrone avec qui il a également travaillé à Milan).
Pas indiqué si Paes fait l'intérim en tant qu'adjoint.
Manque pour l'instant le prépa phys.

MurDuF a écrit:

Et il embarque son statisticien de Modène, Bob Ciamarra (plutôt que de conserver Perrone avec qui il a également travaillé à Milan).

Dans son interview à L'Equipe, Andrea Giani précise que Paolo Perrone sera l'un des ses adjoints.

Pitouf a écrit:

MurDuF a écrit:

Et il embarque son statisticien de Modène, Bob Ciamarra (plutôt que de conserver Perrone avec qui il a également travaillé à Milan).

Dans son interview à L'Equipe, Andrea Giani précise que Paolo Perrone sera l'un des ses adjoints.

ok, on va être très bien pourvu en analystes alors!

Interview du nouveau sélectionneur dans le journal l'équipe:
[size=18]« Comment êtes-vous devenu le nouveau boss de l'équipe de France ? 
Il y a deux semaines, Bernardo (Rezende) m'a appelé pour m'informer de ses problèmes familiaux et sa décision de ne pas poursuivre. Il a glissé deux noms à la Fédération française pour lui succéder : le mien et celui d'Angelo Lorenzetti (l'entraîneur de Trente). Deux jours après, j'ai fait une visio avec Axelle (Guiguet, la DTN) et le président de la FFVolley (Éric Tanguy). Je leur ai dit que j'avais un contrat en cours avec la Fédération allemande et que je devais leur en parler d'abord. Le manager général de l'Allemagne a vite accepté de me libérer de mon engagement contractuel, au regard du challenge exceptionnel proposé.[/size]
[size=18]Avec qui allez-vous travailler ? 
Le staff est bouclé. Loïc Geiler, qui coache à Fréjus, sera mon adjoint. Il a beaucoup d'énergie ! Il y aura aussi deux autres assistants italiens : Roberto Ciamara, qui travaille avec moi à Modène, et Paolo Perrone de Milan (et ex-adjoint de Laurent Tillie) et Caroline Thomas comme manager. Le staff médical, lui, ne changera pas.[/size]
La surprise Geiler
« Je suis sur un petit nuage. C'est une opportunité de dingue qui se présente à moi ! » Loïc Geiler doit encore se pincer pour y croire. Dans quelques semaines, il sera assis sur le banc des Bleus, à côté d'Andrea Giani, a priori en numéro 3 du staff. Les deux hommes se sont croisés à Tallinn, en septembre dernier, lors du premier tour de l'Euro. Giani y coachait l'Allemagne et Geiler était l'adjoint de Cédric Enard sur le banc de l'Estonie.

Tout est parti d'une discussion sympa mais alors informelle. « On a accroché. Je vais donner sang et eau pour ce projet », assure l'ex-réceptionneur-attaquant, passé par Montpellier, l'AS Cannes et Tours et qui, sans une grave blessure à l'épaule droite, aurait réalisé une grande carrière internationale. Sa mission ? Assurer du lien entre le nouveau sélectionneur et les champions olympiques. « Je connaissais les joueurs avant leur changement de statut, je sens que je vais prendre une bonne claque », rigole le jeune technicien, qui fêtera ses 38 ans jeudi. Arrivé sur le banc de Fréjus en 2013, Geiler (40 sélections) a remis l'ex-capitale du volley français de la fin des eighties, sur la scène professionnelle, en Ligue B où le club varois dispute actuellement le premier tour des play-offs.
[size=18]Avez-vous discuté avec Earvin Ngapeth avant de prendre votre décision ? Il vous a raconté tous les petits secrets des Bleus ? 
(Il rit.) Non, ma première grande discussion, je l'ai eue avec Benjamin Toniutti, qui restera le capitaine de la sélection. Et ensuite, j'ai parlé avec Earvin. Derrière, j'ai commencé à appeler les autres joueurs. Pour moi, il est important de tout connaître d'eux actuellement : dans quelles conditions physiques et mentales ils se trouvent, où ils en sont dans leur saison... Et aussi de savoir ce que les gars veulent et envisagent avec l'équipe nationale.[/size]
« Avec Earvin, cette saison à Modène, je n'ai pas eu un problème. Il est engagé à fond dans le projet. Pour moi, il est crucial d'échanger avec les joueurs »


 

[size=18]Ce ne sera pas trop dur de coacher Ngapeth en club puis en sélection avec les Bleus ? Laurent Tillie, votre prédécesseur, s'y était toujours refusé... 
(Il éclate de rire.) La semaine dernière, j'ai appelé Laurent, d'ailleurs. Nous sommes restés deux heures au téléphone. Nous sommes de très bons amis depuis de longues années et nous partageons régulièrement nos expériences. Avec Earvin, cette saison à Modène, je n'ai pas eu un problème. Il est engagé à fond dans le projet. Pour moi, il est crucial d'échanger avec les joueurs. Je sais qu'ils ne sont pas parfaits. Moi non plus, d'ailleurs. Mais il est important de se dire les choses, tous les jours.[/size]


En parallèle de l'équipe de France, Andrea Giani coache Modène, où évolue un certain Earvin Ngapeth. (Ipp)
La communication doit être permanente. Il est important que les joueurs sachent ce que j'ai en tête, comment la semaine va se dérouler, ce que j'attends d'eux... C'est impossible de demander 100 % tous les jours. Je le sais, j'ai été joueur aussi (il sourit). Dernièrement, je lui ai dit qu'il devrait prendre dix jours de vacances après cette saison stressante avant de rejoindre les Bleus. Il m'a regardé droit dans les yeux et m'a dit : "Non, je veux enchaîner de suite". C'était une surprise pour moi mais j'en suis ravi. C'est avec ce genre de sacrifices qu'on arrive à se forger une identité commune, autour des valeurs des joueurs.
[size=18]Quelle patte voulez-vous poser sur le volley français ? Développer la culture service-block à l'italienne ? 
Non. Dans un premier temps, il est important que les joueurs et moi on apprenne à se connaître. Je vais apporter ma philosophie mais aussi la mixer avec leurs caractéristiques. L'essentiel, pour moi, est de développer une seule identité forte pour engendrer une continuité de performance durant tout un été. Dans le passé, l'équipe de France a toujours évolué à un haut niveau. Mais a parfois manqué de constance. Exemple : elle gagne la Ligue mondiale en 2017 et ensuite rate l'Euro (9e). Idem en 2018 : finale de Ligue des nations et élimination au Mondial avant le Final Six. L'année dernière, après la victoire aux JO, une élimination avant les quarts de finale de l'Euro. Cette équipe a les atouts pour rester tout en haut tout le temps : de grands passeurs, de très bons attaquants, des réceptionneurs de talent... La seule petite faiblesse concerne le poste de contreur central. Mais tous les postes sont couverts ![/size]
« Dans le passé, l'équipe de France a toujours évolué à un haut niveau. Mais a parfois manqué de constance »


 

[size=18]Quelles ont été les réactions en Italie, suite à votre nomination ? 
Beaucoup de fierté. Un coach italien sur le banc de l'équipe championne olympique, qui va défendre son titre à domicile, ce n'est pas rien.[/size]
[size=18]Paradoxalement, c'est d'ailleurs le seul titre qui manque au volley italien... 
(Il sourit jaune.) Je sais ! J'ai perdu deux finales olympiques (1996 et 2004) alors qu'on dominait avec une équipe incroyable (les Fenomeni, triples champions du monde et quadruples champions d'Europe). C'est la preuve qu'en sport tout est toujours possible.[/size]
[size=18]Y compris de conserver un titre olympique ? Seuls l'URSS (1964, 1968), puis les États-Unis (1984, 1988), ont réussi cet exploit.
C'est notre mission, en tout cas ! L'objectif, je le répète, est de développer une identité sur et à côté du terrain, autour des joueurs. Désormais, ils sentent une forme de responsabilité sur leurs épaules après le titre de Tokyo. Cette pression va encore les faire grandir. Ce ne sera pas simple mais l'opportunité est incroyable.[/size]
[size=18]Quand arrivez-vous en France ?
J'arriverai juste après la fin du Championnat italien, je ne sais pas quand, le plus tard possible j'espère ! Je prendrai deux trois jours de vacances et je serai là. »[/size]

J'ai cru comprendre que le staff brésilien de l'équipe de France était remplacé par un staff italien. Visiblement le site de la FFVB n'est pas au courant