[Divers] Dnacg

Très mauvaise nouvelle pour le volley français. Jamais réjouissant un club qui chute de cette façon là. Reste plus qu'à leur souhaiter remonter la pente sur de nouvelles bases.

Triste oui.

Mais il n'y a pas que le volley français qui souffre de ce type de difficultés.
Un article du monde.fr présente les difficultés financières du football italien :

En Italie, un football dont les comptes ne tournent pas rond

La nouveauté apparue depuis peu concernant le droit à l’image (voir la publication de la Lnv) devrait permettre d’avoir un petit ballon d’oxygène pour notre sport tellement dépendant des subventions (comparées à d’autres sports) .
Il faudra qq temps, j’imagine, pour décoder cette possibilité et ainsi faire de belles économies sur la masse salariale.
Lyon s’ajoute à une liste funeste : Alès, Saint nazaire (qui a rapidement rebondi), le Goelo, Beauvais, Rouen....etc.....

Bon courage à Lyon! J'espère qu'ils reviendront en Pro prochainement.

michmuch35 a écrit:

Début championnat ligue B le 13 octobre.
Lyon se retire et PV intégré En ligue B soit 12 équipes.

Pour la partie en gras, trouvé sur le site de la FFVB (partie extranet, lien à gauche Planning des compétitions) : http://www.ffvb.org/data/Files/CCS/2017-2018/Planning/Planning_General_2017-2018.pdf qui confirme le démarrage en LAM, LAF et LBM le week-end du 14/10.

Leur planning n'est pas bon car la 2ème journée c'est le 16 octobre et sur le planning c'est le 21!

spectateur a écrit:

Lyon s’ajoute à une liste funeste : Alès, Saint nazaire (qui a rapidement rebondi), le Goelo, Beauvais, Rouen....etc.....

On peut rajouter Harnes, Orange sans oublier les clubs féminins.

Pour l'ASUL c'est la 3ème fois en 25 ans qu'il renonce au professionnalisme, une pensée pour les joueurs qui se retrouvent sur le carreau. Une possibilité pour certains d'être repris par le Paris Volley si celui-ci se retrouve en Ligue B si celui-ci construit un budget de Ligue B.

Ce nouveau refus du professionnalisme va très probablement faire réfléchir des joueurs à continuer leurs carrières pro dans un sport qui va très mal.

A force, j'en est assez de me répéter mais bordel la fédé et la LNV faites enfin quelque chose de très bien pour sauver ce magnifique sport parce que la Team Yabvou ne sera pas éternelle. On vous attends au tournant pour l'Euro 2019.

Lyon même plus en pro B... Le volley ball perd une étoile de plus ...

• - L’ASUL Lyon Volley se désengage de la ligue B masculine      
  

Sports    09-08-2018 à 10:54  

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L’ASUL Lyon Volley se désengage de la ligue B masculine

Lyonmag


L’ASUL Lyon Volley a décidé de supprimer son équipe masculine qui évoluait en ligue B, après des problèmes financiers et un crowdfunding manqué.


"C'est le cœur lourd que nous annonçons le désengagement de notre équipe du championnat Ligue B Masculine.Devant la très grande difficulté à trouver des nouveaux partenaires privés pour compenser la baisse importante de certaines subventions publiques et après mûre réflexion, il a fallu nous rendre à l'évidence qu'il ne serait pas raisonnable et viable de partir pour une nouvelle saison en Ligue B", a expliqué le président du club, ce mercredi sur Facebook. 
 
Avec une campagne de crowdfunding qui n’a pas fonctionné, 10 090 euros récoltés sur les 100 000 visés, l’Asul n’a pas les moyens de continuer au niveau professionnel. Depuis sa relégation en Ligue B en 2016, le club lyonnais connaît des problèmes financiers. La direction a notamment dû baisser le budget de 1,3 millions d’euros à 850 000 et une diminution des joueurs professionnels a aussi été réalisée. En effet, l’équipe ne comptait plus que huit joueurs professionnels contre quatorze
auparavant. Lyonmag.com

Quand on voit les joueurs sur la photo ( et encore, il manque le canadien Van Lankvelt ) on comprend les problèmes financiers de Lyon. Comme d'autres clubs Français qui ont fait une Coupe d' Europe, l' ASUL s'est brulé les ailes en composant une équipe au dessus de ses moyens financiers et le paye cash les saisons suivantes.
Lyon n'est pas un cas isolé : Beauvais et Rennes ont subi le même sort 2 ou 3 ans après avoir joué une Coupe Européenne. Rennes n'a pas disparu mais le Bouc végète maintenant en N2

On voit la réalité de notre sport ! Manque de professionnalisme et de marketing et nos instances en sont un triste exemple !

Faut vraiment que le volley augmente sa popularité et sa communication pour pouvoir attirer des sponsors . 

Au jour d'aujourd'hui comment attirer des sponsors pour un club de volley dans les grandes villes ? On va leur proposer quoi en échange ? Une visibilité de leur marque ?

Exemple de Lyon avec leur grosse équipe de foot et de basket.

C'est vraiment dommage pour Lyon …..

Grosse équipe de rugby aussi le LOU.. et les hockeyeurs des Lions de Lyon.. vainqueurs de la Coupe de France qui entrent dans le cercle des meilleurs équipes de Ligue-Magnus. Sans même parler du foot féminin..

Le rugby a commencé à être vraiment un sport national au niveau des clubs quand les grandes villes comme Paris et Lyon s'y sont mises. 
Il est dommage qu'au Volley-ball la plus grande ville de France en ligue A ne soit que la 4ème (Toulouse) et que parmi les 3 plus grandes villes il n'y ait plus que Paris qui soit encore professionnelle... 
Pour attirer des sponsors il faut qu'il y ait un certain nombre de personnes susceptibles de suivre et c'est ce que fait le rugby. 
Exception faite de certaines villes qui ne sont représentées que par le volley, il est donc dommage pour la visibilité du volley que les grandes villes ne soient pas présentes.

cd31 a écrit:

Le rugby a commencé à être vraiment un sport national au niveau des clubs quand les grandes villes comme Paris et Lyon s'y sont mises. 
Il est dommage qu'au Volley-ball la plus grande ville de France en ligue A ne soit que la 4ème (Toulouse) et que parmi les 3 plus grandes villes il n'y ait plus que Paris qui soit encore professionnelle... 
Pour attirer des sponsors il faut qu'il y ait un certain nombre de personnes susceptibles de suivre et c'est ce que fait le rugby. 
Exception faite de certaines villes qui ne sont représentées que par le volley, il est donc dommage pour la visibilité du volley que les grandes villes ne soient pas présentes.

Facile, quant on habite une grande ville!!!!!
Donc Ajaccio,Cannes ,Chaumont, Narbonne,Poitiers,Sète,Tourcoing et Tours veuillez laisser la place à Paris,Marseille,Lyon,Strasbourg,
Bordeaux,Lille, Reims et Le Havre.
Le volley deviendra comme le foot,toujours les mêmes équipes et tout pour les bons et rien pour les autres.
C'est la direction de la Fédé et la LNV qui doivent gicler pour mettre des personnes qui cherchent à développer notre sport,pas à profiter des petits fours et apéros dînatoires.
Heureusement qu'il y a des Chaumont, Ajaccio, Poitiers, Tours et autres,notre championnat est indécis.
En foot, Paris, Lyon, Marseille et les autres,et Toulouse 4 éme ville a terminée l'année par un sauvetage et débutée par un naufrage.

Tourcoing = métropole de Lille donc c'est une grande ville aussi qui essaie aussi de monter son club de rugby. 
Mais si tu regardes au rugby, la professionnalisation a sonné la fin des anciens champions Tarbes, Lourdes, Béziers, Narbonne ... 
Je ne souhaite pas la fin des clubs de petite ville au volley mais je dis simplement que c'est dommage pour la visibilité du volley qu'aucune des 3 grandes villes ne soit représentée au plus haut niveau.

setois a écrit:

C'est la direction de la Fédé et la LNV qui doivent gicler pour mettre des personnes qui cherchent à développer notre sport,pas à profiter des petits fours et apéros dînatoires.
.

+1

Ils attendent que la Team Yabvou va ramener les sponsors et l'argent toute seule sans rien faire. Les cousins éloignés du basket et du hand se sont bougé le cul et maintenant leur sport progresse en termes de médiatisations et financiers surtout pour le hand. Quand Philippe Bernat-Salles est arrivé à la tête de la LNH son objectif était de devenir la meilleure ligue du monde, tout le monde s'est moqué de lui mais il a plus que réussi (même si le hand a profité d'une discipline moins concurrentielle, de l’effondrement de Liga Asobal et d'une économie plus fragile dans le hand européen avec la disparition de clubs comme Ciudad Real, Hambourg ou Copenhague ou de clubs qui ont réduit la voilure comme Kielce et le Vardar Skopje). Le président de la LNB Alain Béral a pris la chose en main après que le basket s'est fait largement dépassé par le rugby depuis 20 ans et essaye d'éviter que le hand lui passe devant de manière définitive avec l'arrivée d'un naming (Jeep Elite), des droits TV à près de 10 millions d'euro par an. Certains vont dire qu'il a plus que favoriser le parachutage du Paris Basket Avenir en PRO B et que Blois essaye de faire valoir ses droits en montant en PRO A en appliquant le règlement à la lettre. Tandis qu'a la tête de la LNV c'est un président de club, Aulas l'a rêvé le volley l'a fait. Pour l'instant le projet du volley s'est de prier que les subventions ne lâchent pas les clubs un par un. Chaque année on a droit un remake de l'été meurtrier ou d'une adaptation d'un jour sans fin avec une intersaison sans fin pour connaître la composition exacte des différentes poules des différents championnat (pro et amateur).

Pour l'instant le volley n'a aucune chance de développement dans les plus grandes villes françaises. L'objectif du volley actuel c'est de devenir des bastions forts dans des villes moyennes en attirant les grands acteurs économiques locaux dans des arenas à taille humaine (2000 à 3000 places). De favoriser aussi les fusions je pense à Montpellier et à Sète ou encore Cannes et Nice parce que dans le contexte actuel des baisses des subventions au moins l'un d'entre eux risque de paraître dans la décennie à venir.

pitouf a écrit:

Pour l'instant le volley n'a aucune chance de développement dans les plus grandes villes françaises. L'objectif du volley actuel c'est de devenir des bastions forts dans des villes moyennes en attirant les grands acteurs économiques locaux dans des arenas à taille humaine (2000 à 3000 places). De favoriser aussi les fusions je pense à Montpellier et à Sète ou encore Cannes et Nice parce que dans le contexte actuel des baisses des subventions au moins l'un d'entre eux risque de paraître dans la décennie à venir.


Les fusions ne sont possibles qu'avec des villes absorbées exemple(LYON et VILLEURBANNE comme NANTES et REZE).
Mais SETE et MONTPELLIER, si un jour cela se fait ,il ne restera que Montpellier car tout ce qu'il font en fusionnant c'est évincer le club allié.(En basket féminin, Lattes avait une bonne équipe, Montpellier végétait, ils ont fusionnés ,c'est devenu Montpellier/Lattes et quand les journaux sportifs parlent des gazelles, ils disent tous les montpelliéraines ont jouées ..... Nice et Cannes pareil. Pourquoi ne pas faire Orange et Avignon ou Avignon et Alès?????

A Pimemaju:
Peut être que les français ne sont pas bons en géographie, mais certains ne savent pas lire, et s'excitent sans réfléchir.
dans mon post je ne parle pas ni de Nantes ,ni de Rennes puisqu'ils font partis du top 10 des villes,quant à Tourcoing c'est une ville de 97000 hab. et je les remplace par Lille qui en a 235000.11.08.2018

Et pour les communes absorbées, ce que je veux dire c'est des communes qui se touchent entre elles, comme à Lyon ou on tourne dans une rue est on est à Villeurbanne, la rue d'après c'est Bron.... à Nantes ,c'est Rezé,St Herblain, Carquefou,Vertou.....
Je ne vais pas faire toutes les villes, mais la géographie je connais et je suis Français.

Pitouf a écrit:

Ils attendent que la Team Yabvou va ramener les sponsors et l'argent toute seule sans rien faire. Les cousins éloignés du basket et du hand se sont bougé le cul et maintenant leur sport progresse en termes de médiatisations et financiers surtout pour le hand. Quand Philippe Bernat-Salles est arrivé à la tête de la LNH son objectif était de devenir la meilleure ligue du monde, tout le monde s'est moqué de lui mais il a plus que réussi (même si le hand a profité d'une discipline moins concurrentielle, de l’effondrement de Liga Asobal et d'une économie plus fragile dans le hand européen avec la disparition de clubs comme Ciudad Real, Hambourg ou Copenhague ou de clubs qui ont réduit la voilure comme Kielce et le Vardar Skopje). Le président de la LNB Alain Béral a pris la chose en main après que le basket s'est fait largement dépassé par le rugby depuis 20 ans et essaye d'éviter que le hand lui passe devant de manière définitive avec l'arrivée d'un naming (Jeep Elite), des droits TV à près de 10 millions d'euro par an. Certains vont dire qu'il a plus que favoriser le parachutage du Paris Basket Avenir en PRO B et que Blois essaye de faire valoir ses droits en montant en PRO A en appliquant le règlement à la lettre. Tandis qu'a la tête de la LNV c'est un président de club, Aulas l'a rêvé le volley l'a fait. Pour l'instant le projet du volley s'est de prier que les subventions ne lâchent pas les clubs un par un. Chaque année on a droit un remake de l'été meurtrier ou d'une adaptation d'un jour sans fin avec une intersaison sans fin pour connaître la composition exacte des différentes poules des différents championnat (pro et amateur).

Pour l'instant le volley n'a aucune chance de développement dans les plus grandes villes françaises. L'objectif du volley actuel c'est de devenir des bastions forts dans des villes moyennes en attirant les grands acteurs économiques locaux dans des arenas à taille humaine (2000 à 3000 places). De favoriser aussi les fusions je pense à Montpellier et à Sète ou encore Cannes et Nice parce que dans le contexte actuel des baisses des subventions au moins l'un d'entre eux risque de paraître dans la décennie à venir.

Dire que le volley n'a aucune chance de se développer dans les plus grandes villes française, je ne dirais pas ça. C'est plutot le volley des plus grandes villes française s'est moins bien greffé parce qu'il est TROP dépendant des institutions publiques. En effet, le volley n'est pas tout seul à demander des subventions car d'autre sport ont aussi des clubs de haut niveau et les subventions se partage. Pour se développer, mieux ne vaut pas être trop dépendant des institutions publiques car tout à un prix et cette dépendance est une belle épée de Damocles. Les clubs de basket pro par exemple, ceux  des plus grandes villes ou agglomération, ne montrent pas un très fort couplage avec les mairies, aglos, départements, sauf peut être en région parisienne (Levallois, Nanterre, et maintenant Paris Basketball (pour son décollage) sont TRES dépendants des institutions du moins pour le moment). Le président de la ligue de basket a un projet : un gros club à Paris porte drapeau national, leader naturel au niveau européeen (en Pro B le nouveau club parisien a 3,5 million de budget, pas mal pour un club champignon de  pro B ! ). La ville de Paris y met aussi les moyens, quitte à déshabiller le Paris Volley, même si la mairie de Paris a la velléitées de faire de Paris "une place forte du volley" dixit Madame la Maire ....

setois a écrit:

Les fusions ne sont possibles qu'avec des villes absorbées exemple(LYON et VILLEURBANNE comme NANTES et REZE).
Mais SETE et MONTPELLIER, si un jour cela se fait ,il ne restera que Montpellier car tout ce qu'il font en fusionnant c'est évincer le club allié.(En basket féminin, Lattes avait une bonne équipe, Montpellier végétait, ils ont fusionnés ,c'est devenu Montpellier/Lattes et quand les journaux sportifs parlent des gazelles, ils disent tous les montpelliéraines ont jouées ..... Nice et Cannes pareil. Pourquoi ne pas faire Orange et Avignon ou Avignon et Alès?????

J'attends la fusion avec impatience Avignon-Orange c'est le sens de l'histoire sans fusion les 2 vont au maximum végétaient dans le milieu de tableau de Ligue B.

Après soyons réaliste, tous les clubs (hormis 2 ou 3 clubs je pense à Chaumont, Tours et Poitiers) sont ultra dépendant des subventions. Dans des villes ou dans un rayon proche où il y a une concurrence avec un club de basket et de hand, le club de volley va être sacrifier, parce que c'est maintenant très difficile de faire accepter aux gens de donner beaucoup d'argent à des clubs d'un sport qui intéresse pas grand monde et avec une diffusion TV minimaliste.

Le volley n'est pas le seul en galère la plupart des sportifs olympiques français sont en galère financière. Ils sont franchement mal traité par l'état français qui après chaque olympiade reçoit les médaillés olympiques en grande pompe en disant qu'ils sont formidable. C'est du grand foutage de gueule de la part de l'état français. L'objectif des 80 médailles au JO de 2024 et très peu réalisable avec autant de moyens voir moins d'argent, Flessel doit aller au front pour faire accepter cela aux sports français.

Enfin, il suffit de voir le budget du ministère des Sports quand il devient pas seulement un secrétariat d'état (moins de 1% du budget de l'état) pour voir la véritable place du sport en France ou des sportifs français.

PIMEMAJU a écrit:

setois a écrit:

A Pimemaju:
Peut être que les français ne sont pas bons en géographie, mais certains ne savent pas lire, et s'excitent sans réfléchir.
dans mon post je ne parle pas ni de Nantes ,ni de Rennes puisqu'ils font partis du top 10 des villes,quant à Tourcoing c'est une ville de 97000 hab. et je les remplace par Lille qui en a 235000.11.08.2018

 Je ne doute pas un instant de tes capacités géographiques mais peut être que nous ne parlons pas la même langue  
Ici c'est plutôt la langue d'oîl et toi la langue d' oc. Même en relisant bien ton post je ne vois pas la raison pour laquelle tu squeezes Nice, Rennes et Nantes alors que tu parles de Reims ou du Havre qui n'ont pas de clubs Pro en volley.
Mais bon, on ne va pas s'exciter plus que cela  
J'espère que tu l'étais hier soir pour voir la belle victoire des Bleus au Barrou

Il n'en parle pas justement parce que Rennes, Nice et Nantes sont déjà en pro A.

Il me semble que setois listait les villes plus modestes en terme de taille et celles plus importantes pouvant les remplacer. Rennes, Nice et Nantes étant déjà en Pro A, elles ne peuvent pas remplacer les autres.

De plus, s'agissant de sarcasme, et non d'un réel projet, l'absence d'une ville ou un autre dans la liste est sans grande importante.


C'est ce que j'ai compris en tout cas.

Enfin des news sur le Paris Volley !!! (déficit, sans doute recours devant le tribunal administratif, recrutement) :

http://www.leparisien.fr/sports/ile-de-france/volley-ball-relegue-en-ligue-b-le-club-parisien-a-disparu-des-radars-15-08-2018-7853157.php

Au vu des propos du fiston entraîneur, j’opte pour Paris en ligue B et non pas une disparition du club au niveau professionnel (il faut bien assurer la carrière de Dorian Rougeyron dont le contrat a dû être «cadenassé » par son géniteur...on aurait fait de même, j’imagine, dans la même situation)
Il n’y manque qu’un AR et on devrait avoir le favori...

Une logique toute Rougeyrienne dans cet article il attend un soutien de la ville pour notamment payer des loyers de retard qu'il doit à la ville . Un simple transfert de fond du service des sports vers le service bâtiment et hop le tour est joué !!!!!