[Ligue A] 10ème journée

J'étais au match Toulouse-Paris. C'était un match de niveau moyen à mon gout, les équipes n'ont pas vraiment joué en même temps. 

Paris l'emporte grâce à un Lawani en forme (même si on a l'impression qu'il joue en dilettante). Comme le dis @flipflip le match aurait pu aller au 5ème set, mais Toulouse n'a pas su conclure le 4ème. Toulouse plus faible au service (4 serveurs flottants dans le 6 de départ)  et très dépendant de Cagliari.

Les tops: 
- Hernan, toujours un niveau exceptionnel, des passes à une main qui régalent et une bonne répartition du jeu. Je l'aurais mis MVP, et je pense que Paes n'est pas prêt de débuter un match
- Lawani qui lorsqu'il est en feu est pénible à défendre/blocker. Si il gomme les temps faibles qu'il peut avoir, il peut devenir très très fort.

Les flops: 
- Jorna , le capitaine Toulousain qui n'est pas tranchant que ça soit à l'attaque ou service.

Cvfc10 a écrit:

Un petit retour sur Plessis - Poitiers.
Plessis en mode diesel sur le premier set. Pas très percutant service bloc et Rouzier pas encore lancé.
Puis le momentum du match s'inverse. Les ailiers du plessis propre, chizoba trop seul et qui déraille dans le money Time, comme penchev. 
Henry pas mal au contre et nalobin vraiment impressionnant dans ce secteur aussi. 
Inquiétant pour Poitiers car il est difficile de voir d'où la solution peu venir. Le passeur est pas mal à la passe mais pas génial dans les autres secteurs. 
Enfin, c'était vraiment sympa cette ambiance bouillante dans un gymnase de volley. Chants et encouragements du début à la fin.

La Nouvelle République
Battu au Plessis-Robinson, le Stade Poitevin est sur un fil
Publié le 29/11/2021
Les joueurs du Stade Poitevin devront faire preuve de plus de solidarité pour inverser le cours d’une saison bien mal embarquée.
Le Plessis Robinson - Poitiers : 3-1 Au-delà de la défaite au Plessis-Robinson, les Poitevins ont affiché un état d’esprit inquiétant.
Samedi soir, les hommes de Brice Donat ont pris une nouvelle claque. Une de plus, une de trop. Dans un championnat d’une incroyable densité, il n’est pas bon de laisser autant de points en route. Battu 3-1 sur le parquet d’un promu heureux, le Stade Poitevin Volley Beach a affiché ses carences dans les moments clefs.
On repense forcément à ce troisième set qui, à 18-21, lui tendait forcément les bras, avant que les Locaux n’inversent la tendance. « Cela correspond à la fragilité des équipes qui n’ont pas beaucoup gagné. Tu fais des fautes dans les moments un peu chaud. Quand tu perds beaucoup, tu es dans le doute et si tu arrives à repasser devant, c’est terminé », confiait Cédric Logeais, l’entraîneur du Plessis-Robinson, au sortir du troisième succès de la saison des siens.
« On perd les pédales et c’est dur »« Tout le monde peut battre tout le monde. Les équipes sont très proches les unes des autres. Ce sera compliqué jusqu’en mai. Comptablement on engrange des points, on reste au contact des dernières places des play-offs ce qui serait synonyme d’un maintien direct », ajoutait le coach parisien.
Le maintien, un mot « vulgaire » pour certaines formations de l’élite, mais qui est la réalité du moment pour des Poitevins trop souvent atones et surtout avec les têtes bien malades. « On retombe dans nos travers avec une grande fébrilité lorsque l’on commence à être un peu titillé. On sort complètement du match en oubliant le plan de jeu. On perd les pédales et c’est dur. Le troisième set on doit le prendre pour nous et, forcément, ça appuie sur les têtes, ça fait mal et à la perte de ce set, c’est dur de se remobiliser pour le quatrième set. On est toujours pris par nos démons », expliquait après coup Brice Donat.
Plombé par les erreurs individuelles, Poitiers ne pourra reprendre sa marche en avant qu’en équipe soudée, ce qui est loin d’être le cas à l’heure actuelle. À plusieurs reprises, c’est Brice Donat, lui-même, à la perte d’un point qui haranguait ses joueurs, les incitant à se rassembler pour un petit mot d’encouragement. Dans le camp d’en face, chaque point gagné ou perdu était l’occasion de voir un six soudé se taper dans les mains, afficher de grands sourires… « On manque de combativité, de plaisir tellement on est dans le doute. On est pressé de vouloir finir, sans y parvenir et ça ajoute plus de pression encore », soufflait le technicien poitevin.

Un ami qui a regardé le match à la télé me demandait quelle Coupe d'Europe avait gagné Chaumont pour avoir une étoile sur le maillot ?
Est-ce que quelqu'un-e peut lui répondre ?

blottier2012 a écrit:

Un ami qui a regardé le match à la télé me demandait quelle Coupe d'Europe avait gagné Chaumont pour avoir une étoile sur le maillot ?
Est-ce que quelqu'un-e peut lui répondre ?

Je n'ai jamais fait gaffe à cette étoile. Un truc qui est sûre, c'est qu'ils n'ont pas encore gagné de coupe d'Europe. (Vous allez me trouvez prétentieux car ma phrase suppose que nous n'abandonons pas l'idée qu'il serait possible d'en gagner une un jour). A mon avis, si étoile il y a, elle doit correspondre au titre de champion de France de 2017. Maintenant, est ce que le CVB52HM a le droit d'afficher une étoile pour un un titre de champion de France, je ne connais pas la réglementation, et je ne sais même pas si il y en a une.